L'atelier du Sanctuaire

L'atelier du Sanctuaire

Mangas


Space Symphony Maetel

Dans les années 80 on a découvert Albator avec ses deux versions d'abord en guerre contre les sylvidres (Ambator 78) puis contre les humanoïdes (Albator 84), ensuite, par le même créateur, le galaxy Express 999 avec toujours les mêmes types de personnages dont les graciles et filiformes personnages féminins.


Sur kaze tv, une nouveauté, la fin du galaxy Express 999 et le début d'une nouvelle saga : l'arrivée de la belle Marina devenue Mettel sur la planète qui offre les corps mécaniques dont le petit héros rêvait. Marina devenue Mettel est en fait l'héritière d'une reine qui a dû par la contrainte robotisé son peuple en vue de le sauver, et notre petit héros rondouillard un jeune terroriste en guerre contre la mécanisation des humains.


Un autre héros fait son apparition, eh oui  Albator, ancien général fidèle de la Reine, opposé à la mécanisation des humains et devenu un rebelle... Bref une saga toute neuve, une fusion de plusieurs séries et il faut bien le reconnaître un graphisme plus sympa, les personnages féminins ont enfin des formes !!!


05/11/2015
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Saint Seiya

Une histoire un peu particulière, non passionnelle mais peut être...

Ce fut en 1986 que tout a commencé, à l'époque je devais avoir, allez un calcul rapide, 9 ans ! Et chaque mercredi après midi, une émission aujourd'hui disparue et depuis remplacée par des inepties lobotomisantes, diffusait les premiers mangas en France : ce que l'on appelait à l'époque des japoniaiseries !

L'une d'elle, attira très vite mon attention : les Chevaliers du Zodiaque (Saint Seya en version originale), l'histoire de cinq jeunes garçons qui maîtres en arts martiaux et portant de lourdes armures métalliques représentant des constellations, finissaient par vaincre des adversaires de plus en plus puissants, allant jusqu'à défier les Dieux de l'Olympe au nom de la justice.



Ils alliaient des valeurs universelles et riches (qui d'ailleurs font bien défaut aujourd'hui) : le courage, le respect, le dépassement de soi, la vertu, l'envie de réussir en se bougeant vraiment, l'engagement dans de justes causes !



Depuis l'eau a coulé sous les ponts et Bob l'Eponge et d'autres programmes pour futurs lobotomisés du bulbe sont passés par là !


Bref cette série mélait aventure, engouement, culture, (eh oui !) mythologie. Bref une série parfaite allez lachons le mot !

La série devient vite celle d'une génération, des produits dérivés arrivèrent sur le marché, vendus comme des jouets et devenus vingt ans plus tard des collectors s'arrachant parfois à prix d'or !



Cette avec cette série que j'ai grandi, elle m'a bien influencé dans mes études (j'ai fini en histoire antique), et pour mes projet actuels. Elle m'a motivé pour apprendre à dessiner, même si je suis encore très loin du niveau.
Ensuite je me suis tourné vers l'écriture de poèmes mythologiques.

Saint Seiya (聖闘士, セイント?)星矢, également appelé Les Chevaliers du Zodiaque en français, est un manga de Masami Kurumada publié pour la première fois en janvier 1986. Il compte 28 volumes et est publié en français aux éditions Kana. Une édition Deluxe de 22 tomes a également vu le jour entre décembre 2005 et octobre 2006 au Japon, et est actuellement publiée en France depuis février 2011.

 

Les chapitres Sanctuaire (volumes 1 à 13 du manga) et Poseidon (volumes 14 à 18 du manga) firent l'objet d'une adaptation sous la forme d'une série télévisée d'animation de 114 épisodes par la Tōei animation, diffusée au Japon sur TV Asahi entre 1986 et 1989. Dans le cadre de cette diffusion, un chapitre additionnel, Asgard, fut inséré entre les épisodes 74 et 99.
La première partie du chapitre Hadès (volumes 19 à 22 du manga) a fait l’objet d’une adaptation en OVA diffusée au Japon du 9 novembre 2002 au 12 avril 2003. La deuxième partie du chapitre Hadès a été diffusée en deux volets jusqu’en 2007 et la dernière partie de ce chapitre fut diffusée en mars 2008.

 

L'anime a été diffusé en France par l’intermédiaire de AB Distribution sous le titre Les Chevaliers du Zodiaque. Il fut l'un des programmes phares de l'émission jeunesse Club Dorothée sur TF1 entre 1988 et 1997.

 

Cinq films ont aussi été réalisés. Plusieurs œuvres dérivées du manga original ont été publiées, notamment Saint Seiya, épisode G, Saint Seiya: Next Dimension et Saint Seiya: The Lost Canvas. Une nouvelle saga nommée Saint Seiya Omega, produite par la Tōei animation, est diffusée au Japon depuis le 1er avril 2012 sur TV Asahi1.

 

Dans la mythologie grecque, depuis la nuit des temps, lorsque les Forces du Mal s’éveillent, des Chevaliers (Saints) vêtus de leurs armures (cloth) font leur apparition pour protéger la Terre. On les appelle les Chevaliers d’Athéna (Athena no sainto).

Lors de l’un de ses voyages en Grèce, Mitsumasa Kido fait la connaissance d’un jeune garçon agonisant, Aiolos, Chevalier d’Or du Sagittaire. Celui-ci confie à Mitsumasa Kido l’armure d’Or du Sagittaire et Saori, un bébé. Aiolos présente la petite fille comme étant la réincarnation de la déesse Athéna. Il lui demande de trouver et d'entraîner des jeunes garçons courageux afin de protéger l’enfant.

 

Athéna a 88 chevaliers, chacun associé à une constellation stellaire. Ils sont regroupés en 3 castes, généralement selon leur force initiale : bronze, argent et or. Mais il existe une caste secrète de Chevaliers noirs qui combattent ceux d’Athéna , usurpent leurs pouvoirs et possèdent les mêmes armures, leur seule différence avec les armures originelles étant leur couleur noire.

 


 

Les autres dieux entrant en guerre ont eux aussi leurs armées : Marinas de Poséidon, Spectres d'Hadès, Guerriers d’Odin (dans la série d’animation uniquement), Anges d'Artémis / Protecteurs de l'Olympe

 

Découpage de la saga...

1) Chapitre Sanctuaire : une lutte pour l'armure d'or d'Aiolos qui finit en bataille au sein du Sanctuaire. On peut la découper en trois sous-parties: les héros affrontent d'abord Ikki et ses chevaliers noirs, puis les chevaliers d'argent, et enfin les 12 chevaliers d'or.

 

 

2) Chapitre Poséidon : les Chevaliers de Bronze affrontent les Marinas, généraux de Poséidon dans l’espoir de sauver Athéna. Dans l'anime, un court passage du manga se déroulant entre les chapitres Sanctuaire et Poséidon a été développé sous la forme d'une mini-saga, Asgard, qui oppose les Chevaliers de Bronze aux guerriers divins d’Odin, dont la prétresse Hilda de Polaris est manipulée par Poséidon.

 



3) Chapitre Hadès : la saga se déroule en trois parties. La première met en avant les Chevaliers d'Or affrontant les spectres d'Hadès ayant envahi le Sanctuaire. Dans la seconde partie, les Chevaliers de Bronze se rendent dans les Enfers pour combattre les 108 spectres d’Hadès et enfin dans une troisième partie les Chevaliers de Bronze se rendent à Élysion (domaine des Dieux) pour achever le combat contre Hadès et ses dieux jumeaux et retrouver Athéna.

 




la série :

 

L’adaptation en série d’animation reprend les 18 premiers volumes du manga sous la forme de 114 épisodes, s’achevant sur le chapitre Poseidon. En France, ces épisodes ont été diffusés à la télévision, au Club Dorothée sur TF1 du 6 avril 1988 au milieu des années 19902.

 

Parce que le studio Toei avait une meilleure productivité que l'auteur du manga, l’adaptation a rapidement rattrapé la publication papier, et il a fallu que les scénaristes du dessin animé inventent des épisodes supplémentaires pour laisser le temps au manga d’avancer. De ce fait, on trouve quelques personnages et épisodes plus ou moins fantaisistes dans le volet de la série précédant la bataille du Sanctuaire (autour des Chevaliers d'Argent). De même, le chapitre Asgard a été créé de toutes pièces par le studio Toei (En fait Asgard s’inspire d'un chapitre du volume 13 du manga intitulé «Natassia enfant du pays des glaces»). Dans le manga, on passe directement de la bataille du Sanctuaire au chapitre Poséidon. La série fait un détour par les combats d’Asgard, puis raccorde avec la saga Poséidon en prétextant que cette bataille avait été orchestrée par le dieu des mers.

 

 

 

Les OAVs

Il a fallu attendre 13 ans avant que la dernière partie du manga, le chapitre Hadès, ne soit adaptée en animation. Cette adaptation s’est effectuée en plusieurs parties.

 

Au Japon

 

La première partie du chapitre Hadès a été réalisée sous la forme d’un OAV de 13 épisodes diffusés entre le 9 novembre 2002 et le 12 avril 2003 à raison d’une diffusion par mois. Ce premier volet couvre la partie consacrée à la bataille des douze maisons (Jûnikyû-hen). La diffusion a été assurée sur la chaine de télévision pay-per-view japonaise Animax. La majeure partie des comédiens ayant participé au doublage de la série d’origine ont repris leur rôle avec l’ajout de quelques nouveaux pour remplacer les personnes décédées depuis.

 

La deuxième partie de la saga Hadès se déroule dans le monde des ténèbres (Meikai-hen) et est constituée de 2x6 OAV. La diffusion des 6 premiers épisodes (Meikai-hen "Zenshô") a débuté le 17 décembre 2005 et s’est achevée le 18 février 2006 au rythme de deux épisodes par mois. La même chaine en a assuré la diffusion. Ces épisodes relatent l'arrivée des Chevaliers de Bronze dans les enfers, leur traversée des différents cercles jusqu’à l’apparition de la réincarnation d’Hadès. À partir de ces épisodes, les comédiens doublant les cinq héros ont été remplacés par des personnes plus jeunes, ce qui a causé de vives réactions négatives auprès des fans japonais et occidentaux. La seconde partie du Meikai-hen, toujours constituée de 6 épisodes est quant à elle sortie sur le câble au Japon en décembre 2006, encore une fois au rythme de deux épisodes par mois.

 

La dernière partie Elysion, prévue en 6 épisodes, est dans un premier temps annoncée pour décembre 2007 puis décalée à mars 2008 au Japon. Le prévisionnel de diffusion de ces nouveaux OAV est le suivant :

 

 

En France

 

Le 17 septembre 2006, le premier épisode du Saint Seiya, les Chevaliers du Zodiaque. Le Chapitre Hadès, le Sanctuaire (Jûnikyû-hen) est diffusé sur la chaine de télévision TNT française NT13. Les épisodes initialement diffusés à 11h du matin, ont vu successivement leurs horaires passer à 10h45 puis à 10h30 en novembre 2006. Leur diffusion est sujette à une interdiction pour les moins de 10 ans. Les chansons Pegasus Fantasy et Blue Dream ont été remplacées par une chanson en anglais. En ce qui concerne le doublage, aucun des comédiens d’époque n’a été rappelé.

 

Le 6 septembre 2007, les deux premiers volumes de l’édition DVD française du Jûnikyû-Hen sont disponibles à la vente. Chaque volume comprend deux OAVs, uniquement en version française. Un coffret contenant les 13 premiers épisodes en version originale sous-titrée et la version française est sorti en octobre 2008.

 

 

Les films

 

Outre le dessin animé, 5 films basés sur le thème de ce manga ont été réalisés, tous étant des histoires parallèles et ne rentrant donc pas dans la chronologie officielle, mis à part le 5e film (dont l’inclusion à la chronologie est sujette à controverse parmi les auteurs). Ils ont été projetés au cinéma au Japon.

 

 

Site officiel de l'éditeur :

http://www.kana.fr/manga/saint-seiya-chevaliers-zodiaque-tome-28,835


20/06/2013
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Mermaid Forest

On connaît prin­ci­pa­le­ment Ru­mi­ko Ta­ka­ha­shi pour ses oeuvres co­miques et sen­ti­men­tales (Lamu, Mai­son Ik­ko­ku, Ranma ½) qui ont été de grands suc­cès po­pu­laires. A côté de ces oeuvres pour ado­les­cents, la man­ga­ka sait aussi se faire plus grave et écrire des man­gas sé­rieux. Mer­maid Fo­rest en est cer­tai­ne­ment le meilleur exemple puis­qu'elle adapte des su­jets qu'elle af­fec­tionne, comme les mythes et lé­gendes ja­po­nais, mais cette fois-​ci sur un ton adulte. Tou­te­fois nous ne par­le­rons pas de manga trop peu connu mais de sa ver­sion ani­mée que Kaze a eu la bonne idée de sor­tir.

Mer­maid Fo­rest tourne au­tour du concept de l'im­mor­ta­li­té, état qui se ma­ni­feste après l'ab­sorp­tion de chair de si­rène qui est un vé­ri­table vec­teur de vie éter­nelle ou à l'in­verse un ef­froyable poi­son dans la ma­jo­ri­té des cas. Yuta est unique : âgé d'une ving­taine d'an­nées, il a goûté à cet mets pas comme les autres et le voilà au­jourd'hui à en­vi­ron 500 ans dans le Japon contem­po­rain. Il n'a ja­mais ren­con­tré quel­qu'un comme lui et vit son im­mor­ta­li­té comme un far­deau, re­cher­chant déses­pé­ré­ment une si­rène qui connai­trait le se­cret pour le faire vieillir comme les autres. Lors d'une de ses quêtes, il ren­contre Mana, une autre im­mor­telle qu'il sau­ve­ra d'un sombre des­tin et qui l'ac­com­pa­gne­ra dans ses fu­tures aven­tures.

 

L'anime tranche consi­dé­ra­ble­ment avec les autres oeuvres de la man­ga­ka sur le plan du scé­na­rio puisque l'heure n'est pas au co­mique mais au tra­gique. Tour­née da­van­tage sur la psy­cho­lo­gie des per­son­nages et les drames hu­mains que sur l'ac­tion, Mer­maid Fo­rest ap­pa­raît dès lors comme une série fan­tas­tique assez sombre. Il faut dès lors por­ter une at­ten­tion par­ti­cu­lière aux per­son­nages prin­ci­paux, ce que fait Ta­ka­ha­shi pour Yuta, lui don­nant un fond qui per­met de com­prendre cha­cune de ses ré­ac­tions. Le jeune homme s'ap­pro­chant des 500 ans, on le verra ainsi dans des his­toires sur­ve­nues à dif­fé­rentes époques qui ap­portent un charme his­to­rique et de l'ori­gi­na­li­té à une his­toire an­crée dans le pré­sent et pour­tant sur­na­tu­relle. En effet, Ru­mi­ko Ta­ka­ha­shi trouve là un for­mi­dable sujet pour re­pré­sen­ter les mythes ja­po­nais, celle de la si­rène en par­ti­cu­lier. On est loin de la ver­sion oc­ci­den­tale puisque ces créa­tures sont dé­mo­niaques et mons­trueuses, tout comme les hu­mains ayant mangé leur chair. L'anime offre alors son lot de monstres hi­deux et de gore. Oui, cette oeuvre n'est as­su­ré­ment pas pour le pu­blic ha­bi­tuel de l'au­teur (quoique Inu Yasha s'en rap­proche). On re­gret­te­ra juste la ré­pé­ti­ti­vi­té des his­toires, où l'on ren­contre tou­jours une fa­mille qui pos­sède des restes de si­rène qu'elle uti­lise à mau­vais es­cient, et le fait que Mana soit at­teinte par le syn­drome Kim Bauer (je me pro­mène et je tombe in­évi­ta­ble­ment sur des psy­cho­pathes).

On re­trouve avec plai­sir le style gra­phique de Ru­mi­ko Ta­ka­ha­shi, Yuta ayant d'ailleurs un faux air de Ryoga, bien mis en avant par une ani­ma­tion soi­gnée. Les des­si­na­teurs ont fait un ef­fort au ni­veau des dé­tails his­to­riques et des cou­leurs pour rendre l'anime en­core plus at­trac­tive, en par­ti­cu­lier sur le on­zième épi­sode. On est à chaque fois trans­por­té dans un uni­vers dif­fé­rent et tou­jours in­quié­tant. Les tons sombres, par­fois très contras­tés par un blanc an­gé­lique, et la mu­sique an­gois­sante viennent ren­for­cer cet effet. Le dou­blage est de qua­li­té, uni­que­ment dis­po­nible en ja­po­nais, et on a juste le droit aux sous-​titres fran­çais et néer­lan­dais qui ne sont d'ailleurs pas exempts de fautes d'or­tho­graphe. Les bonus sont som­maires avec les ha­bi­tuelles bandes-​an­nonces de l'édi­teur et une ga­le­rie de des­sins.

 

 

 


La ver­sion anime de Mer­maid Fo­rest
fait hon­neur au manga de Ru­mi­ko Ta­ka­ha­shi puisque l'ani­ma­tion est les gra­phismes sont de qua­li­té, bien aidés par un scé­na­rio tra­vaillé. Les fans des oeuvres les plus connues de la man­ga­ka de­vraient trou­ver là un nou­veau ter­rain de jeu, certes moins co­mique mais tout aussi pre­nant.


22/11/2009
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Van-Dread

Vandread  est une série télévisée d'animation japonaise en 2 saisons de 13 épisodes de 26 minutes chacun par les studios Gonzo Digimation. La première saison est produite en 2000 et sera suivie d'une OAV en 2001 résumant la saison (Vandread Taidouhen). La deuxième saison est produite en 2001 et sera également suivie d'une OAV en 2002 résumant la saison (Vandread Gekitouhen). En France, la série a été diffusée à partir du 5 juin 2003 sur Mangas.

Synopsis :

La planète Tarrak est peuplée exclusivement d'hommes et la planète Mejeer de femmes. Ces deux planètes se font la guerre depuis des années. Lors d'une présentation militaire des forces spatiales de Tarrak, le nouveau vaisseau de combat, construit à partir de celui de la colonisation, est attaqué par des femmes pirates issues de Mejeer. Ne voulant pas perdre la face, le commandant préfère détruire son vaisseau avec les pirates à bord.

 


Là se produit un événement surprenant : le vaisseau de Tarrack et celui des pirates fusionnent. Cette fusion affectera aussi les « armures » de combat des vaisseaux. Les rares hommes (seulement trois) faits prisonniers par les pirates vont bien malgré eux devoir collaborer puis apprendre à vivre avec les femmes pirates (et inversement) car leur salut à toutes et à tous dépend de leur entente.

17/12/2008
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Inu-Yasha

Inu-Yasha ( inuyasha?) est un manga de Rumiko Takahashi, publié au Japon par Shōgakukan et en France aux éditions Kana. La publication au Japon a débuté en 1996 et se terminera avec le 56e tome. La prépublication dans le magazine Shōnen Sunday s'est achevée, elle, en juin 2008. 34 volumes ont été traduits en français.

 

Depuis le 16 octobre 2000, un anime tiré du manga est diffusé au Japon, il compte 167 épisodes de 25 minutes. Le dernier épisode a été diffusé le 13 septembre 2004. En France, l'anime est diffusé depuis octobre 2008 sur la chaîne NT1. Quatre films d'animation sont également sortis au Japon.

 


 

Synopsis

 

Le Japon, à l'époque des pays en guerre, dite Sengoku (avant 1600).

 

InuYasha, un hanyo mi-démon mi-humain, attaque le village, où la perle de Shikon se trouve et la vole. La perle de Shikon lui permettrait de devenir un démon à part entière. Pendant ce temps là, la prêtresse Kikyo est attaquée et gravement blessée par Naraku, qui s'est déguisé en InuYasha. La prêtresse Kikyo croît alors que Inu-Yasha l'a trahi en lui tendant un piège. Lorsqu'elle croise le vrai InuYasha dans la forêt, elle jette un sort puissant à l'aide d'une flèche et le scelle à un arbre pour l'éternité. Kikyo meurt peu après suite à ses blessures. Avant de mourir, elle exprime sa dernière volonté à sa s�ur Kaede, celle d'être incinérée avec la perle de Shikon pour que plus personne ne puisse l'utiliser à des fins dangereuse.

Cinquante ans plus tard, Kagome, une fille du Japon actuel, tombe dans le puits du temple où elle habite et peut ainsi traverser les époques. Elle arrive dans le village même où la tentative de vol de la perle a eu lieu cinquante ans plus tôt et sa ressemblance avec Kikyo n'échappe pas à la nouvelle prêtresse, Kaede, qui n'est autre que la s�ur de Kikyo. Attaquée par un mononoké (esprit vengeur), Kagome libère Inu-Yasha de son sort en faisant disparaître la flèche ensorcelée qui le maintenait dans un état léthargique. Il s'avère que Kagome porte en elle la perle de Shikon. Mais elle détruit la perle malencontreusement, et les fragments s'éparpillent dans le monde. Inu-Yasha et Kagome unissent alors leurs efforts pour les retrouver

Les héros :

Inu-Yasha (inuyasha?) est un hanyo, un être hybride mi-homme mi-démon. Il a le pouvoir de se régénérer lorsqu'il est blessé. Il a une force surnaturelle. À chaque nouvelle lune, Inu-Yasha se métamorphose en simple humain, perdant alors ses dons surnaturels. Il est en possession du Tessaïga, un sabre magique dont le nom signifie « les crocs pouvant broyer l'acier ». Le père d'Inu-Yasha, un puissant démon géant, avait fabriqué ce sabre à partir d'un de ses crocs, mais il faut avoir un peu d'ADN humain ou un bras humain pour l'utiliser, il a été crée pour protéger la mère d'Inu-Yasha, une humaine. Le Tessaïga possède plusieurs techniques (la morsure du vent (kaze no kizu), le bakuryuha) que Inu-yasha apprendra au fur et à mesure de leur voyage avec l'aide de Tōtōsaï mais il a aussi ses propres techniques de combat, comme le Sangotessu. Dans sa quête, Inu-yasha découvre que cinquante ans plus tôt Naraku avait blessé Kikyo en se faisant passer pour lui. Il veut tuer Naraku pour se venger. Il tombe amoureux de Kagome (mais il ne veut pas l'avouer).

 


 

Kagome Higurashi (Higurashi Kagome?) est une jeune fille de quinze ans qui va au collège et passe ses examens d'entrée au lycée. Elle peut être d'une extrême douceur, mais aussi devenir redoutable pour chasser les démons à la période Sengoku. Grâce au chapelet magique que la miko Kaede a attaché au cou d'Inu-yasha (et que seul un humain peut enlever), elle peut l'immobiliser en prononçant le mot « couché » (Osuwari), Inu-Yasha s'écrase alors violemment à plat ventre. Elle est la réincarnation de la prêtresse Kikyo, dont Inu-Yasha était amoureux il y a cinquante ans. Elle a le pouvoir de sentir la présence des fragments de la perle de Shikon (la shikon no tama) qu'elle a malheureusement brisée. Au fur et à mesure des aventures qu'elle passe aux côtés d'Inu-Yasha elle en tombe amoureuse.

 



Leurs alliés et amis :

Kikyō (Kikyō?) est une miko (prêtresse shinto) et gardienne de la perle de Shikon, son rôle était de protéger le village. Elle aimait Inu-Yasha, mais elle fut tuée par Naraku (déguisé en Inu-Yasha) cinquante ans avant que l'histoire commence. Elle a été ressuscitée par la sorcière Urasue et revit désormais dans un corps fait de terre et d'os qu'elle doit « remplir » d'âmes de jeunes filles mortes pour pouvoir bouger. Mais son âme reste figée dans les sentiments qu'elle a éprouvé au moment de sa mort.

 

 


 

Kaede (Kaede?) est une miko. Elle est la petite soeur de Kikyō. Elle est la première à reconnaître sa soeur réincarnée en Kagome.

 


 

Shippo (Shippo?) est un yōkai, un jeune démon-renard orphelin. Après la mort de son père, tué par les frères Raiju, il est le premier à se joindre à Kagome et Inu-Yasha dans leur quête. Shippo a le pouvoir de se métamorphoser et de créer des illusions. Mais ses transformations sont temporaires, ne réussissent pas toujours, ou bien sont incomplètes. Il est souvent facilement reconnaissable à sa queue de renard qu'il n'a pas réussi à métamorphoser. Il sait aussi manier le feu du renard.

 

 


 

Miroku (Miroku?) est un moine bouddhiste voyou et pervers. Il vole ce dont il a besoin et ce qu'il trouve sur son chemin. Il arrive que lorsqu'il croise une jolie fille, il lui demande si elle accepterait d'être la mère de ses enfants ou que ses mains se retrouvent malicieusement sur les fesses des jeunes filles. Il tient cette attitude du vieux moine, alcoolique et pervers, qui l'a élevé après la mort de son père. Il tombe amoureux de Sango.
Il est victime de la malédiction du Kaza Ana. Il a un trou d'air magique à la main droite qui peut aspirer tout ce qui est autour de lui à la manière d'une tornade. Il peut anéantir ainsi une grande quantité de monstres, mais cela lui demande beaucoup d'énergie. Il a hérité de cette malédiction de son grand-père et de son père, qui a été vaincu lors d'un combat contre Naraku cinquante ans auparavant. Miroku craint les Saimyoshōs, insectes de l'enfer qui ressemblent à des frelons géants dont le poison est extrêmement venimeux, manipulés par Naraku. Les insectes ne se font pas aspirer par le Kaza Ana mais ils se jettent dedans pour empoisonner Miroku. Tant que Miroku n'aura pas tué Naraku, la malédiction se transmettra à ses descendants. De plus, le trou d'air grandit avec les années, la force d'aspiration augmentant également, il se fera aspirer un jour dans le néant. Le père et le grand-père de Miroku sont morts ainsi.

 


 

Hashi (Hashi?) est un tanuki, c'est-à-dire un chien viverrin, fréquent dans le bestiaire fantastique japonais. Il ressemble à un raton-laveur. Il est au service de Miroku qui l'emploie parfois pour ses escroqueries. Il a la faculté de se transformer, le plus souvent en moyen de transport volant. Il est assez peureux et cherche à fuir tout endroit où un combat s'annonce.

 


 

Sango (Sango?) est une chasseuse de démons. Elle est originaire d'un village de chasseurs professionnels de démons et en est la dernière survivante. La perle de Shikon est également originaire de ce village. Elle manie le Hiraikotsu (l'os volant), qui ressemble à un magnifique boomerang de deux mètres. Il a été fabriqué par le père de Sango avec des os de démons. Son village a été totalement détruit par Naraku et tous les habitants ont été massacrés. Elle a vu son père et d'autres chasseurs de démons se faire tuer par son petit frère, qui était manipulé par Naraku. Elle joint la quête pour venger son village et elle essaye de sauver son petit frère Kohaku qui est détenu par Naraku. Elle tombe amoureuse de Miroku.

 


 

Kirara (Kirara?) est le fidèle chat de Sango qui l'accompagne partout. Kirara est un petit chaton futé à deux queues. Elle peut prendre une seconde apparence et se transformer en Fire Cat (chat de feu). Elle devient alors un démon redoutable aussi grand qu'une voiture, capable de voler dans les airs et faire des sauts gigantesques. Elle chasse les autres démons comme s'ils étaient de simples rongeurs. Elle transporte souvent ses amis (Sango et Miroku) sur son dos, notamment pour les secourir.

 

 

Kohaku (Kohaku?) est le petit frère de Sango, timide et tenant énormément à sa soeur. Il est sous le contrôle de Naraku qui l'a rendu amnésique pour en faire un de ses sbires. Sous l'emprise de Naraku, il a le regard vide et se contente d'exécuter ses ordres. Il a ainsi tué son père et blessé sa soeur. Il est mort dans cet affrontement mais un morceau de la perle de Shikon le maintient en vie. Vers le tome 30, il retrouve la mémoire et n'aura alors qu'une idée en tête : tuer Naraku.

 


 

Myoga (Myoga?) est un démon-puce. Dans la série, il apparaît aux héros sur le dos de Kirara et était la puce de Inu-Yasha dans le passé. Auparavant, il était au service du père d'Inu-Yasha. Il ne garde guère de souvenir de ce dernier sinon du goût délicieux de son sang. Il est une source d'information précieuse pour Inu-Yasha. Il est initialement chargé de protéger la dépouille et la tombe du père d' Inu-Yasha qui possédait le Tessaïga. La tombe était cachée dans une perle noire dans l'�il droit d'Inu Yasha et fut ouverte au cours de son premier passage avec son grand frère, Sesshômaru. Outre le fait que Myoga apprécie de boire du sang de démons, il a déjà sauvé la vie à Inu-Yasha en aspirant du sang empoisonné, ainsi qu'à Kagome en lui donnant du sang régénérateur. Il est immortel.

 


 

Hōjō (Hōjō?) est un garçon qui vit à notre époque, il est dans le même collège que Kagome et est amoureux d'elle sans que cela ne soit réciproque. Lorsque Kagome ne va pas au collège pendant plusieurs jours puisqu'elle est dans le passé, elle prétend être malade pour justifier ses absences, Hōjō lui offre alors des cadeaux relatifs aux maladies imaginées et totalement inutiles à Kagome.


Les démons et adversaires :

Naraku (Naraku?), « l'enfer », est l'ennemi de tous les héros. Lorsqu'il était encore un humain, c'était un bandit portant le nom d'Onigumo, « araignée ogre ». Il a été gravement blessé et ne pouvait pas bouger, Kikyō l'a soigné dans une grotte, jusqu'au jour où il vendit son âme à plusieurs démons en échange de pouvoir se marier avec Kikyō. Les démons se sont emparés de son corps et il s'est métamorphosé en hanyō (moitié homme, moitié démon). Le but principal de Naraku est de rassembler tous les éclats du Shikon afin de devenir un démon tout puissant.

 

 

Onigumo (Onigumo?) est le premier Naraku. Onigumo a été soigné par Kaede et Kikyo. Il était à l'état de momie vivante parce qu'il avait été gravement blessé et brûlé au point de ne plus pouvoir bouger. Mais il avait si soif de pouvoir qu'il a laissé des démons l'absorber pour devenir plus fort, plus fort pour avoir Kikyo, personne envers laquelle il éprouvait des sentiments. Il ne souhaitait qu'une chose d'elle, voir son esprit se corrompre. Ce qu'il reste d'Onigumo sur Naraku, c'est le tatouage d'une araignée dans le dos.

 


 

Sesshōmaru (Sesshōmaru?) est le demi-frère plus âgé d'Inu-Yasha. À la différence d'Inu-Yasha, Sesshōmaru est entièrement démon et méprise Inu-Yasha d'être un hanyō et de s'associer avec des humains. Il est un démon très puissant, qui semble ne pas avoir d'adversaire à sa taille lorsqu'il a atteint ses pleins pouvoirs. Bien qu'il en ait la chance au tome 23, il ne bat pas Naraku. Sesshōmaru apparaît d'abord à la recherche de l'épée appelée Tessaiga. Alors qu'il détient le Tenseiga, qui permet de ressusciter les morts. Il possède une seconde épée, le Tōkijin, qui a été forgée avec les dents d'une extension de Naraku. Son valet, Jaken, et une jeune fille, du nom de Rin, le suivent partout depuis qu'il les a tous deux sauvés. Il se promène sur un dragon bicéphale, Aun. Son Tenseiga peut ressusciter mais ne peut pas tuer. Il en est ainsi jusqu'à ce que le Tōkijin se brise lors d'une bataille. Il va alors voir Tōtīsaï, le forgeur du sabre pour reforger Tenseiga et pour que celle-ci puisse attaquer. Il peut donc produire une nouvelle attaque, le Meidou Zangetsuha qui produit un cercle noir (au début sous forme de demi-lune) qui envoie tout ce qu'il touche directement en enfer. Le nom de « Sesshōmaru » peut se traduire de deux façons : « destruction du cercle de la vie » ou « perfection meurtrière ». Beaucoup de fans sont attachés à la seconde traduction mais la technique de son épée Tenseiga peut amener à penser que la 1re traduction est la plus juste.

 


 

Kōga (Kōga?) est le jeune chef du clan des démons-loups. Rival d'Inu-Yasha car amoureux de Kagome, il finit par le rejoindre dans sa quête après que la quasi-totalité de son clan se soit fait assassiner par Kagura, sur ordre de Naraku. La puissance de Kōga vient en grande partie des morceaux de la perle qu'il a dans les deux jambes. Plus tard dans l'histoire il utilise le « Goraïshi », des griffes magiques ancestrales utilisant le pouvoir de générations de démons-loups.

 


 

 

Kagura (Kagura?) est un yōkai du vent, elle est créée par Naraku et veut se libérer de son emprise. Elle demande l'aide de Sesshōmaru qui refuse, prétextant n'avoir aucune raison valide pour l'aider. Néanmoins, on sent un certain attachement se créer entre les deux au cours de la série.

 


 

Kanna (Kanna?) est la soeur de Kagura et première « extraction » de Naraku, elle parle peu. Elle se promène constamment avec un miroir ayant le pouvoir d'aspirer les âmes des gens ou de renvoyer leur attaque.

 


 

Byakuya (Byakuya?) est la dernière « extraction » de Naraku et le sert sans discuter. Il ne pense pas à le trahir comme Hakudoshi ou Kagura. Il a la faculté de générer des illusions (« mugen ») et d'animer de petits bouts de papier pour se faire une monture en forme d'oiseau. Il peut aussi se séparer de son oeil ailé pour espionner.

 

 

Les Shichinintai (Les Shichinintai?) sont une bande de sept mercenaires qui a vécu 10 ans avant l'action. Ils étaient craints pour leur façon de tuer particulièrement atroce. Les daimyos (seigneurs de la guerre) ont fini par leur tendre un piège en les envoyant attaquer un château et en leur tendant une embuscade au retour. Les Shichinintai ont alors été décapités. 10 ans plus tard, ils ont été ressuscités par Naraku grâce au pouvoir des fragments de la Perle de Shikon et ont été engagés pour affronter Inu-Yasha en échange d'une nouvelle vie.

 
  • Bankotsu (Bankotsu?) est le plus jeune des Shichinintai mais le chef de cette bande. Il a une force physique importante mais ne s'en satisfait pas. En fait, il rêve d'avoir des pouvoirs semblables à ceux des yōkais ou des dieux. Il possède une sorte d'épée (ou hallebarde?) géante appelée Banryu. Pour acquérir des pouvoirs démoniaques, il a juré de tuer 1000 hommes et 1000 yōkais avec cette arme (les pouvoirs démoniaques peuvent être transférés dans un objet). Il remplira son compte mais sera presque aussitôt vaincu par Inu-Yasha qui lui renverra son énergie démoniaque grâce au Bakuryuuha. Les autres camarades l'appellent « o-aniki », ce qui signifie à la fois « grand frère » et « chef ». Physiquement, Bankotsu est jeune, au teint assez basané, les yeux bleus et porte une longue natte. Il accorde une grande importance à la confiance et ne supporte pas la trahison. Autre signe particulier, il ne sait pas écrire, et ça l'énerve!
  • Jakotsu (Jakotsu?) semble être assez proche de Bankotsu : ils se connaissaient avant la création des Shichinintai. Jakotsu utilise un sabre à multiples lames articulées appelé « Jakotsuto ». Il a pour particularité d'être maquillé et habillé comme une femme (kimono, sandales) et relève ses cheveux avec une épingle. Jakotsu est un personnage sadique : son obsession est de rencontrer des hommes beaux et de les découper en tranches. Il veut absolument vaincre Inu-Yasha et ramener ses oreilles de chien en souvenir. Il est vaincu par Inu-Yasha mais achevé par Renkotsu.
  • Renkotsu (Renkotsu?) est réputé comme le plus intelligent des Shichinintai. Il utilise le feu pour se battre ainsi que de multiples explosifs. Il tient également une gourde contenant un liquide inflammable qu'il crache sur ses adversaires. Il a de très petits yeux et cache son absence de cheveux sous un foulard. Renkotsu a très peur à l'idée de retourner dans le monde des morts et est prêt à tout, y compris à trahir ses compagnons, pour acquérir plus de fragments de Perle de Shikon donc plus de pouvoirs. Il est vaincu par Inu-Yasha mais survit au combat. Il est tué par Bankotsu qui ne lui pardonne pas d'avoir achevé Jakotsu.
  • Suikotsu (Suikotsu?) est le personnage le plus torturé des Shichinintai. À l'origine, Suikotsu était médecin, mais a vu une petite fille mourir sous ses yeux, tuée par un soldat. Alors qu'il allait se faire tuer, sa deuxième personnalité a pris le dessus et il est devenu un tueur redoutable, armé de grandes griffes de métal qu'il fixe à ses mains. Il est le premier à se joindre à Bankotsu et Jakotsu pour former les Shichinintai. Toutefois sa personnalité de médecin reste enfouie quelque part et peut ressurgir ; Suikotsu est donc en quelque sorte schizophrène. Alors qu'il s'apprêtait à assassiner Rin, Kikyō le blessa au cou grâce à une flèche. Il redevient le docteur et supplie Kikyō de lui ôter le fragment de perle. Jakotsu lance alors son épée et tue Suikotsu en récupérant le fragment.
  • Mukotsu (Mukotsu?) est le plus petit des Shichinintai. Il se bat avec des poisons très puissants qu'il fabrique lui-même à partir de plantes. Il porte un foulard blanc sur la tête et un autre sur le visage qui lui sert à se protéger de ses propres poisons mais surtout à dissimuler sa laideur. Son idée fixe est de trouver une épouse, mais son aspect et surtout sa méthode rendent la tâche difficile. Il est tué par Sesshōmaru, sur qui ses poisons n'ont pas d'effet.
  • Ginkotsu (Ginkotsu?) est un homme mi-humain mi-mécanique, dont le corps est truffé d'armes diverses (scies, grappins, etc.) fabriquées par Renkotsu, auquel il semble assez attaché. Après une première défaite contre Inu-Yasha qui détruira une grande partie de son corps, il est reconstruit par Renkotsu sous une forme différente qui s'apparente à celle d'un char, ce qui lui permet de servir de moyen de transport pour ses camarades. Il est tué par Kōga, mais utilise son fragment de Perle de Shikon pour protéger Renkotsu de sa propre explosion. Ginkotsu a pour particularité de ne pas réellement parler, mais d'émettre des sons soufflés que ses camarades semblent comprendre.
  • Kyōkotsu (Kyōkotsu?) est le 1er des Shichinintai à faire son apparition. Il est à la fois le plus grand et le plus faible d'entre eux. Sa force réside uniquement dans sa grande taille, mais il est très facilement vaincu par Kōga. Il est le seul des Shichinintai à ne pas porter son fragment de Shikon au cou, mais au front, ce qui laisse supposer que sa première mort n'est pas survenue par décapitation comme ses camarades.

Le manga est édité en France aux éditions Kana et compte actuellement 32 volumes. Au Japon le volume 1 est sorti le 13 novembre 1996 et le volume 62, clôturant le manga, le 18 juin 2008.

 

17/12/2008
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